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Yasab, Balad Saiq et Misfat Al Abriyeen
Au petit matin, l'air est plus pur mais le plafond est bas. Bonne nuit tranquille, sans bruit.
Nous continuons notre route vers le fond de la vallée. La piste taillée à flanc de montagne est vertigineuse, et les points vues grandioses.
Les hautes falaises disparaissent dans la brume.
Tombera ou tombera pas ?
La prévoyance routière vient jusque ici, et remarquez la poubelle ! Avec les compliments des élèves de Yasab.
L'arrivée dans la palmeraie de Yasab.
A l'entrée, une grande école flambant neuve attend les enfants peu nombreux car tous les travailleurs sont étrangers.
Celui de gauche sur la photo est pakistanais.
Accueil incroyable de ce jeune homme qui parle un peu l'anglais et qui nous offre le thé après notre promenade dans la palmeraie. Fils aîné d'une famille de huit enfants, il est ici pour deux ans.
L'entrée des jardins est interdite aux chèvres.
Les falajs irriguent chaque parcelle.
Les motoculteurs ont supplanté les animaux de trait.
Nous redescendons dans la vallée pour suivre le Wadi Bani Awf.
Choisir la bonne piste n'est pas toujours facile, même avec la bonne volonté des habitants.
Le Snake Canyon que nous n'avons pas le temps d'explorer
et nous arrivons en haut du village de Balat Sayq
Nous sursautons lorsque des détonations résonnent entre les flancs de la montagne. Un coup de zoom, et c'est un villageois qui tire au fusil de guerre sur la montagne, pas sur nous !
Ce pays est minéral (vous l'avez remarqué, non ?). De quoi faire un cours de géologie.
Longue journée, que nous aurions pu scinder en deux pour faire plus de ballades. Mais ce soir pas de campement à installer car nous dormirons à l'hôtel. On profite donc du jour et du retour du goudron pour visiter le village de Misfat Al Abriyeen.
Retour au village avec la cueillette des bananes et des feuilles de bananier
Journée bien remplie, et c'est assez tard que nous arrivons à Nizwa.
Rouler de nuit est facile car les routes goudronnées, même en campagne, sont bien éclairées.
Merci à la manne pétrolière, et tant pis pour les économies d'énergie !
A bientôt.
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